Projet diplomatique pour les 60 ans de l'ère spatiale...

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Principe

Liminaire

Bonsoir à toutes et à tous,

Comme vous le savez, Lundi à Versailles, notre nouveau président de la République Emmanuel Macron a reçu le Président de la Fédération de Russie, Monsieur Vladimir Poutine, dans le cadre du tricentenaire de l'Amitié Franco-Russe. La Russie est un grand peuple, les deux présidents ont accepté de rapprocher nos deux pays tout d'abord dans certaines collaborations, mais nous savons que des actions symboliques sont prépondérantes pour réchauffer les relations. Rappelons qu'outre le Peuple Américain, le Peuple Russe nous a largement libérés du Nazisme lors de la seconde guerre mondiale.


Une action symbolique que pourraient faire des quidams du Peuple de France...

Cette année en 2017, pour être précis, le 4 octobre, nous célébrons les 60 ans de l'ère spatiale. Si à l'époque les budgets investis dans ce domaine étaient qualifiés de gaspillage somptuaire, il est indiscutable que dans notre environnement technologique actuel, le spatial en a été l'un des principaux acteurs.

En effet, en 1957, le premier objet actif lancé par l'Humain était le fameux satellite Spoutnik qui a tourné plus 1400 fois autour de la Terre pendant trois mois en faisant "Bip-Bip".

Or, en ce moment, certains d'entre vous sont en train d'ériger un mat télescopique pour suivre, si j'ai bien compris, un mini satellite créé par l'école Polytechnique. L'ÉlectroLab sera ainsi une station supplémentaire sur Gaïa (la Terre!) pour recueillir les informations y émanant.

Discutant hier avec Samuel alias Crafty, il m'apprend qu'envoyer un satellite est aujourd'hui une chose possible pour le Privé. Il faut néanmoins prévoir un budget de cent-mille euros le "U". Un "U" étant une unité cubique de dix centimètres. Crafty m'explique qu'il faut en général 2 "U" pour stabiliser le satellite, ainsi rajouter 1 "U" pour la charge utile. Donc avec trois-cents mille euros, nous pouvons placer dans l'espace quelque chose d'utile...

J'ai demandé à Crafty si une entité comme le Lab pouvait envoyer un satellite. Samuel m'a répondu par l'affirmative, mais "qu'il fallait trouver une idée !"


Une idée proche de zéro euro...

Mon idée permettrait déjà dans un premier temps d'économiser deux-cents mille euros relatifs à la stabilisation de l'objet, restant à charge les cent-mille euros restants. Or ces derniers pourraient être pris en charge par des Partenaires, j'y reviendrai, mais avant je résume l'aspect technique.

Revenons à notre fameux Spoutnik. Il était constitué d'une boule métallique ornée de 4 antennes diffusant un bip-bip sur les ondes radio. L'idée serait d'effectuer une mesure quelconque, par exemple la mesure des rayons gammas émanant d'étoiles, ce qui permet de ne pas avoir besoin d'un positionnement de l'objet. Il peut tourner sur lui-même tant qu'il veut, le capteur interne mesurant les rayonnements selon une position géographique à l'aplomb de la Terre.

Son alimentation serait sommaire, composée de 48 capteurs de 5 x 2,5 cm disposés par huit sur les six faces du petit cube de 10 cm que serait le satellite. Les capteurs seraient reliés en série au travers de relais statiques déconnectant ainsi tout capteur défectueux du montage en série ou ceux qui sont à l'ombre.

Sa communication serait réalisée au travers d'antennes disposées sur les douze arêtes du "Cube" par le biais d'ondes Hyperfréquences. Le "Bip-Bip" servirait en fait à acheminer les valeurs des mesures. En effet, seuls deux ou trois décimètres carrés sont éclairés par le Soleil sur le "Cube", par définition seulement le jour, ce qui donne au maximum 5 à 10 watts. Même avec un savant montage de switches numériques qui connectent les cellules donnant une tension suffisante, ainsi qu'un hyper-condensateur pour la nuit, l'émetteur avec une si faible puissance, ne peut émettre en permanence. Il pourrait donc émettre ses données sous une forme impulsionnelle, des "Diracs" de données, suivis de longs silences, d'où ces fameux "Bip-Bip"...

Les stations au sol : Imaginons celle du Lab mais aussi des stations qui pourraient être montées ailleurs sur la Terre, par exemple dans les Dom-Tom, ou autre territoires, justement ceux de la Fédération de Russie, avec laquelle nous pourrions développer un partenariat, avec les entreprises françaises in-situ ainsi que les entreprises Russes qui sont en France...


Une autre visibilité pour le Lab...

Une fois de plus, le Lab se démarquerait des autres. Non seulement des très nombreux hacker-spaces qui réparent des vélos mais aussi de ceux qui font une électronique relativement peu évoluée. À l'ÉlectroLab, j'ai pu découvrir de véritables "pointures", pardonnez-moi si parfois mon ton peut paraître thuriféraire, je déteste la flagornerie, le ton élogieux que je peux employer parfois à dessein n'est que sincère, j'aime particulièrement mettre en valeur les personnes lorsqu'elles le méritent, (pratique naturelle dans les milieux culturels Suédois, Italiens et aussi Japonais) - Bref, au Lab, je pense que de nombreux Membres auraient largement les compétences pour apporter leur écot dans un tel projet, ce n'est pas si inaccessible que cela.

Ce type de projet peut ouvrir une boîte de pandore dans ce genre d'étude, les nano satellites existant depuis 1999, aujourd'hui des créateurs ont imaginé des pico satellites, voire des femto satellites (moins de 100 grammes). Nous pourrions pourquoi pas développer des atto satellites (moins de 10 grammes)! ;)

Deux petites précisions : Le but n'est pas d'envoyer des "atto satellites" (moins de 10 grammes), mais de développer un Cub-Sat de 1 "U" avec les moyens du bord à l'ÉlectroLab afin de créer encore et toujours de nouveaux réseaux... Les "atto satellites", ce sera pour plus tard... ;)

Qu'en pensez-vous ?

Amicalement, :) Olivier LE PAPE alias la Panthère rose


Organigramme succinct

Ces éléments seront publiés progressivement...

Global

Alimentation électrique

Capteurs solaires

Gestion électronique des capteurs éclairés ou non et des défectueux

Partie Émettrice

Émetteur

Antennes

Partie Mesure

Réception terrestre

Retour sur la Terre

Conclusion